Mon "Amie" Est Une Chienne

-Alors, tu portes quelque chose dessous ?
Elle me considéra quelques secondes, pendant lesquelles son visage prit une teinte rosée. Elle portait une robe noire constellée de points blancs, qui lui arrivait à mi-cuisse.
-Euh… Oui… Toujours.
-Même quand tu sors en boîte ?
Son visage tourna au rouge cramoisi tandis qu’un sourire se dessinait sur ses lèvres.
-Bon… Presque toujours.
Je me levai alors de mon siège de fortune, un rondin de bois aménagé en une sorte de banc instable, et m’accroupis par terre, entre ses jambes. Je posai une main sur son genou et entrepris de le masser. Elle ne répondit rien. Honnêtement, je n’étais pas sûr de mon coup, elle aurait tout autant bien pu me dire non, à moi, son « ami ». Elle écarta ostensiblement les jambes, et mes mains se frayèrent un passage le long de ses cuisses. Arrivé à la lisière de sa robe, je pris l’ourlet entre deux doigts et la relevai sur son ventre. Elle se releva alors de quelques centimètres pour faire passer la jupe derrière son dos et s’assit à nouveau, les fesses à même le bois. Elle portait un petit string bleu ciel en satin, dont on voyait juste le triangle se réduire à une simple ficelle et disparaître sous son mont de vénus. Je relevai alors les yeux et elle m’incita du regard à continuer. Je me mis à embrasser tendrement ses cuisses en me rapprochant de plus en plus de l’endroit critique. Je m’amusais à faire passer inoffensivement mes dents sur sa peau. Bientôt mes doigts commencèrent à jouer avec l’élastique de son string et mes lèvres les rejoignirent peu après. Je déposai un baiser à travers le tissu, sur sa toison que je devinai finement épilée. Je fis ensuite passer mes mains derrière son dos, à même la peau. Elle se releva alors à nouveau pour me permettre de faire glisser son string sur ses cuisses, et je découvris alors son sexe, entièrement glabre. Le bois sous ses fesses ne semblait pas la déranger outre-mesure.
Je la fis soudain basculer en arrière, tout en la retenant de mes bras ; elle n’était pas bien lourde.

Ma bouche s’empara alors de ses lèvres, les écarta et commença à titiller son clitoris, tandis qu’elle gémissait de plus en plus fort. Il perlait de son sexe un peu de liquide que le soleil faisait refléter. Elle mit une main dans mes cheveux, me caressant un peu pour m’inciter à continuer mon cunnilingus. Sa tête était maintenant inclinée en arrière et son visage affichait un sourire d’extase. Ma langue avait désormais un peu délaissé son clitoris et explorait ses petites lèvres, titillant l’entrée de son sexe duquel la cyprine abondait et avait presque l’air de s’écouler tant il y en avait. Soudain je sentis tout son poids se masser sur mes bras, qui la retenaient toujours, et elle fut prise de spasmes tandis qu’elle jouissait.
Alors que nous nous remettions un peu en ordre, je fis glisser tout à fait son string le long de ses jambes et m’en emparai. Je le fis disparaître dans ma poche en adressant à mon « amie » un sourire complice.
-Je te le rendrai plus tard.
Nous marchâmes alors d’un même pas vers ma voiture, bien décidés à aller continuer nos ébats dans un lieu plus intime que le bord d’un lac. Durant cette courte marche, je n’hésitai pas à caresser ses fesses nues à travers sa robe, pour commencer, puis à même la peau par la suite.
Ce ne fut qu’une fois assis dans la voiture qu’elle remarqua ma verge gonflée dans mon pantalon. Nous n’y avions même pas fait attention, tant nous étions occupés, moi à ce que ma langue faisait, et elle à ressentir du plaisir.
- Pas trop à l’étroit ? souffla-t-elle.
A vrai dire, cela faisait presque mal. Ses mains se dirigèrent alors vers ma ceinture, la défirent et s’arrangèrent pour extirper mon sexe de sa prison en jeans. Afin d’être plus à l’aise, je retirai complétement mon pantalon et descendis mon boxer sur mes genoux. Mais déjà sa main avait entrepris de lents va-et-vient sur mon sexe et s’amusait à le décalotter et le re-calotter sans cesse. Je mis un moment avant de démarrer le moteur, afin de m’habi à la sensation.

Nous ne roulions pas vite. Suffisamment pour avancer, mais trop peu au goût de certaines voitures qui nous dépassaient en jetant un œil sur nous. Le passager d’une de ces voitures aurait vu un jeune homme, le sexe disparaissant frénétiquement entre les mains d’une femme, qui ne tarderait pas à se baisser sur lui pour entreprendre une fellation.
Lorsque ses lèvres touchèrent mon gland, je bloquai ma respiration et laissai échapper un gémissement d’aise. Elle entreprit de lécher ma verge, de haut en bas d’abord, puis s’attardant sur le méat et sur le frein ensuite. Je devais me retenir pour ne pas lui jouir tout de suite au visage. Bientôt elle prit mon sexe en bouche et entama de longs va-et-vient où tantôt seul mon gland bénéficiait de sa langue, et où tantôt celui-ci allait toucher le fond de sa gorge. La sensation était divine.
Un klaxon me rappela à la réalité. Le chauffeur du camion qui nous dépassait nous fit de grands gestes amicaux, puis nous doubla tout à fait et disparut sur une aire d’autoroute. Mon amie et moi nous regardâmes un instant. Une fraction de seconde suffit à nous décider. J’enclenchai le clignoteur et ralentis encore après m’être engagé sur la sortie d’autoroute.
A cette heure-là, il n’y avait tout juste que deux ou trois autres voitures en plus de la mienne et du camion. Le chauffeur sembla ravi de nous voir sortir de notre auto. Toutefois, il était hors de question d’aller trop loin avec cet inconnu : c’était juste pour nous exciter davantage.
-Tu regardes et tu ne fais rien, annonça mon amie en se mettant à quatre pattes entre les deux véhicules.
Sa robe remonta sur ses fesses et on vit très bien qu’elle ne portait rien en dessous. Le string bleu ciel était toujours dans la poche de mon pantalon, abandonné sur le siège arrière de ma voiture. Je n’avais toujours pas joui. Aussi, je bandais dur comme fer et la vision de son sexe béant me donnait envie de la pénétrer de suite. Elle mouillait déjà bien assez.
Je m’agenouillai derrière elle et me mis à lui caresser le sexe. Elle fit rouler ses fesses pour m’encourager. Je la pénétrai bientôt d’un doigt, puis de deux, que je faisais aller et venir dans sa chatte. Le camionneur nous tournait autour, nous examinait sous toutes les coutures, aussi bien elle que moi, son sexe à la main. Il se masturbait frénétiquement en nous regardant.
Je me demandai alors si mon « amie » avait déjà testé l’anal. Plutôt que de lui demander, je sortis mes doigts de son vagin et les présentai à l’entrée de son anus. Elle ne dit rien et me laissa faire. Je massai lentement sa rondelle afin de bien la lui lubrifier, puis insérai un doigt qui lui arracha un gémissement de plaisir. Je continuai mon massage anal quelques secondes, puis, sans retirai mon doigt, approchai ma verge de sa chatte. Cela me fit l’effet d’un trou noir. Comme si je fus aspiré à l’intérieur d’elle. C’était elle qui gérait les mouvements. J’avais encore juste le contrôle de mon doigt à l’intérieur de son anus qui la fouillait entièrement. Elle criait maintenant son plaisir sans retenue ; il n’y avait plus personne d’autre pour nous entendre de toute manière.
Je retirai cependant ce doigt, et, me penchant en avant un peu, je fis jaillir ses seins à la fois de son soutien-gorge et de sa robe et me mis à les presser, faisant rouler entre mes mains ses tétons dressés de plaisir. Je la sentis jouir plusieurs fois sous les coups de ma queue, et je n’étais moi-même plus très loin de l’orgasme.
Soit ce fut une coïncidence, soit ce fut la vue du camionneur lâchant son sperme sur le bitume, mais toujours est-il que j’atteins le point de non-retour au même moment, et, me libérant du sexe béant de mon « amie », je me déversai sur ses fesses, inondant le bas de sa robe de foutre chaud.
En nous asseyant à nouveau dans ma voiture, calmés et vidés, elle me regarda d’un air pétillant et me demanda :
-Je peux récupérer mon string maintenant ?
Il était désormais évident pour nous deux que le moment où je le lui rendrais marquerait la fin de notre après-midi de débauche.

-Pas encore, répondis-je.

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